12 décembre 2009
Quand vous serez bien vielle madame
Quand vous serez bien vielle madame
Je ne serais point là pour le reste
De vos humeurs et de vos gestes
De vos antiques et divins charmes
Vous dire alors plus tard, qu’un beau jour
J’y fus Sensible bien trop même
Et que je vous dise combien aime
Etait dans ma bouche présent pour…
Mais voilà de moi tout fut dénié
De ce que mon cœur pour vous portait
De mon âme qui de vous s’ébattait
Mais ce soir en moi, rien n’est inquiet
Je reprends alors fatale passion
Et attente d’une belle, dévotion
Al. M
Ecrit le 21-08-04
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