Une fleur c’était hein… ?
Vide, vacuité et néant
Froideur de mes sentiments
Mes yeux vissés sur le téléphone
En moi plus rien ne raisonne
Liberté inconditionnelle
En puéril perpétuel
Mes yeux rivés sur MSN
En moi pourtant pas de haine
Nous qui allons
Où irons nous
Nuls ne diront
Retour à notre réalité
Finir alors sa virtualité
Mes yeux braqués sur mon ordi
En moi plus rien ne sourit
Enfermement à l’immuabilité
Le mal en moi fut ressemé
Mes yeux fixés sur mes mails
En moi pourtant tout se mêle
Où allons nous
Nous qui n’allons
Où n’irons nous
Nuls ne diront
Futilité d’un recommencement
Mon cœur évide de tout jugements
Mes yeux scellés vers l’infini
En moi plus rien n’a d’envie
Début d’un nouvel happy-end
Partirais-je un jour pour les Indes
Mes yeux cloués vers l’avenir
En moi pourtant l’attrait de
partir
Où allons nous
Nous qui allons
Où irons nous
Elles me le diront
Au souvenir des voyages lointains
Sur son corps, sur ses seins
Mes yeux fichés sur ses photos
En moi plus rien n’est beau
Perpétuelle renouvellement
Appétence d’un dénouement
Mes yeux séchés plus de pleures
En moi s’est éteinte la jolie
fleur.
Où allons nous (arrose moi)
Nous qui n’allons (arrose
moi)
Où n’irons nous (arrose moi)
Elles me tueront ! (arrose
moi)
Al M